Une élégance discrète
Un entretien avec Sylvie Mercier
L’univers des clubs privés n’est pas inconnu à Sylvie Mercier, bien au contraire. Jeune, déjà elle foule les salons de clubs montréalais. « Mon père y était membre et organisait des rassemblements familiaux en salon ou en salle privée », se rappelle l’économiste de formation qui est aujourd’hui Administratrice de société et Coach en leadership. Pour elle, devenir membre du Club Saint-James était tout naturel. Cinq ans plus tard, elle demeure heureuse de sa décision d’en faire partie.
Un parcours remarquable
Madame Mercier a un cheminement fort inspirant qu’elle présente en deux volets. Un premier, à titre d’économiste en développement économique international pour Montréal et pour le Québec. Sous les feux de la rampe, elle a pris place à de nombreuses conférences, prononcé moult allocutions et entretenu des relations soutenues avec une multitude de hauts dirigeants du monde des affaires. Pionnière dans le domaine économique, madame Mercier fut d’ailleurs la première dirigeante féminine d’une agence de promotion de l’investissement étranger au Canada.
Elle fait ensuite naturellement le saut du développement économique stratégique, au développement des individus et des leaders de demain. C’est en cette qualité qu’aujourd’hui, au service des dirigeants, des administrateurs et des organisations qu’elle accompagne, elle contribue à élever et à soutenir leurs ambitions et objectifs. D’aucuns la considèrent même comme “leur arme secrète”.
Un Club qui lui sert parfaitement
Son actuel rôle d’administratrice de société, de coach en leadership et de consultante en gouvernance stratégique se fait principalement en arrière-scène. En ce sens, le Club Saint-James sert bien ce besoin de se retrouver dans un lieu qui se veut enveloppant, discret, bienveillant et attentionné.
« Lors de rencontres avec clients et collaborateurs, il est important pour moi que ces gens puissent sortir de leur milieu de travail afin de réduire au minimum les distractions. Le Club leur permet de se sentir bien accueillis, en confiance et détachés de leur quotidien ».
Son emplacement au cœur du centre-ville, la qualité de l’accueil et l’attention portée aux membres font indéniablement partie des avantages du Club Saint-James. « Il est possible de louer des salles dans les hôtels du centre-ville ou des espaces de travail dans le Vieux-Montréal par exemple, mais au Club, j’ai accès à une qualité de lieu et de service qui n’ont rien à envier des meilleurs hôtels ».
Un équilibre parfait entre l’attention et le respect
Ayant longtemps côtoyé une clientèle internationale, madame Mercier a toujours valorisé la notion d’accueil. Selon elle, se sentir bien accueilli, c’est se sentir bien tout court. Elle s’est jointe au Club avec cette attente d’avoir un lieu de travail qui lui permettrait d’accueillir ses clients avec l’attention nécessaire. C’est une des caractéristiques du Club Saint-James qu’elle apprécie le plus.
Une chose est certaine pour madame Mercier, son Club n’a rien d’intimidant. « Privé oui, mais pas guindé », tient-elle à préciser. Il s’agit plutôt d’une élégance discrète. L’endroit est raffiné, mais conserve un cachet simple et authentique. Le personnel est accueillant, jovial et attentionné, sans être envahissant. Trouver cet équilibre est un art que le personnel maîtrise parfaitement. « Les gens sont gentils. En arrivant, tu te sens chez toi. Le Club, c’est mon bureau, c’est mon refuge, c’est un relais, c’est une bonne table et un endroit pour se détendre. Ça joue toutes ces fonctions. »
Et souvent, on termine avec un repas
Parmi les petits plaisirs qui lui manquent depuis les derniers mois, madame Mercier mentionne le fait de terminer ses rencontres avec un bon repas ou même un cocktail entre collègues, le tout accompagné des huîtres qu’elle adore tant.
Si la salle à manger, les cocktails et les huîtres se font encore attendre ces jours-ci, elle salue tout de même le nouveau service de repas à domicile qu’elle apprécie grandement. « Cela nous permet d’apporter le Club Saint-James à la maison et même d’en faire profiter ceux qui nous entourent. »