Le Club Saint-James est mon bureau, rien de moins
Un entretien avec Michel Lizotte
M. Michel Lizotte
De son ordinateur déposé sur une table de travail du Salon numéro 2, Michel Lizotte raconte à quel point le Club Saint-James revêt une importance capitale dans son emploi. « Je suis ici au minimum deux fois par semaine, c’est notre espace de travail au centre-ville ».
Francine Bourget et Michel Lizotte ont fondé en avril 2019 l’entreprise ZENITH Acquisition de Talents, un cabinet conseil en gestion des ressources humaines ainsi qu’un service unique en recherche et acquisition de talents rares et cadres de haut niveau, tant au Québec qu’au Canada. Ensemble, ils fréquentent régulièrement l’espace de la rue Union, et ce, depuis la fermeture partielle du Club à l’automne dernier, résultat d’une « certaine » pandémie.
Mme Francine Bourget
Lorsque la confidentialité est requise
Le Club Saint-James leur permet de travailler de manière tout à fait confidentielle, un critère essentiel à la réalisation de leurs activités d’affaires. La discrétion la plus totale est de mise tout au long du processus d’embauche, de la recherche de candidats en passant par les échanges informels, jusqu’aux entrevues. Un club privé comme le Club Saint-James devient un espace privilégié pour tenir ce type de rencontres qui demandent la plus grande confidentialité, autant pour eux, pour les candidats avec qui ils s’entretiennent, que pour les clients.
Un espace de choix
Difficile de trouver un espace aussi central à Montréal que le Club Saint-James. Positionné stratégiquement au centre-ville, près des grands axes routiers, avec stationnement souterrain, le Club a tout pour plaire. « Surtout en temps de pandémie, alors que plusieurs édifices à bureaux et commerces sont encore fermés, il est bon de savoir que notre Club a tout de même la possibilité de nous accueillir et de nous offrir les mêmes services de qualité auxquels nous nous sommes habitués », renchérit le principal intéressé.
Monsieur Lizotte tient d’ailleurs à souligner le travail réalisé par l’équipe pour reconfigurer l’espace et mettre en place des mesures sanitaires et procédures, selon les normes de la santé publique, afin de mettre en place un environnement sécuritaire pour ainsi limiter le risque de propagation de la COVID-19.
Un haut niveau de professionnalisme
Celui qui a déjà travaillé dans l’industrie hôtelière se dit impressionné par le professionnalisme de tout le personnel du Club Saint-James. « L’accueil, la propreté et le service sont irréprochables. J’ai travaillé dans ce milieu-là et laissez-moi vous dire que les employés sont d’un professionnalisme hors pair. On sent qu’ils ont une vocation de travailler au Club. »
Sans oublier le service de restauration. Monsieur Lizotte admet avoir eu la chance de suivre l’évolution de Jean-François Méthot, le Chef actuel du Club-Saint James, qu’il apprécie grandement. « J’étais dans le comité organisateur Québec 2002 et Jean-François était un des Chefs impliqués dans le projet. J’ai été fort impressionné par son travail et je suis sa carrière depuis ce temps. ». Inutile de dire qu’il est excessivement heureux de le voir revêtir l’écusson du Club et diriger l’équipe en cuisine.
« Je ne connais pas de meilleur endroit à Montréal »
Interrogé à savoir quel serait le principal argument pour vanter les mérites du Club à un nouveau membre potentiel, la réponse de Monsieur Lizotte fut sans équivoque : « Je ne connais pas de meilleur endroit à Montréal, tant pour la localisation que la qualité du service. Que ce soit pour faire du réseautage, se couper d’une activité plus bruyante au bureau ou simplement pour décompresser, c’est l’endroit par excellence. »
Il note également les événements comme les dégustations de vins ou d’alcool et autres activités de réseautage qui sont bien appréciées. Il anticipe pouvoir y participer de nouveau lorsque la situation le permettra, avec grand enthousiasme. Monsieur Lizotte souligne finalement que sur le plan qualité-prix, l’adhésion au Club Saint-James en vaut assurément la peine. Chaque dollar investi vous rapportera en productivité, en contacts et en bien-être.