Le Club Saint-James, un outil indispensable
Entretien avec Jonathan Banville
Dès le début de ses études universitaires, Jonathan Banville avait l’ambition de faire partie d’un club d’affaires privé. C’est d’ailleurs un ancien employeur, qui était membre du Club Saint-James, qui l’a mis en contact avec la direction du Club alors qu’il était dans la fin vingtaine.
Un attachement pour le Club
Aujourd’hui Directeur national de la division CONFORT pour Rotec international, une entreprise qui fabrique et vend des lits ajustables pour le domaine médical ainsi que pour le commerce de détail, M. Banville qui est membre depuis 2007 confie avoir un attachement particulier pour le Club Saint-James qu’il considère comme une seconde maison et son pied-à-terre au centre-ville. En effet, le Club s’avère grandement utile pour un homme ou une femme d’affaires qui est souvent sur la route ou dont le bureau principal est situé à l’extérieur de Montréal.
« Dès que j’ai affaire à Montréal, je passe du temps dans mon deuxième chez moi » raconte l’homme qui habite Lorraine et dont le bureau est localisé à Baie-du-Febvre, près de Nicolet au Centre-du-Québec.
Pour lui, le choix est clair. Dès qu’il se rend dans la métropole pour rencontrer des clients ou partenaires d’affaires ou pour travailler avant d’assister à un match des Canadiens par exemple, le Club Saint-James lui offre une intimité et une tranquillité incomparable face aux restaurants et autres lieux bondés et bruyants. Tout cela, en plus d’un accès à un stationnement intérieur, d’un accueil et service exceptionnel en plein cœur du centre-ville. « Il n’y a pas beaucoup d’endroits en ville qui sont en mesure d’offrir tous ces avantages ».
Une évolution impressionnante
Alors que la popularité des clubs privés s’estompait dans les années 90 et au début des années 2000, le Club Saint-James a traversé une période difficile. M. Banville a d’ailleurs été aux premières loges de son évolution : « Lorsque madame Vincent a été nommée à la direction générale du Club, celui-ci avait besoin d’un redressement. Les clubs privés étaient dans un creux au niveau de la popularité. Ce fût impressionnant de vivre l’évolution et la renaissance du Club Saint-James, surtout en voyant les autres institutions battre de l’aile et ultimement disparaître ».
Selon lui, le Club est resté fort grâce à la vision du Conseil d’administration, de ses administrateurs et de la direction, une volonté d’évoluer, offrir une gamme de services adaptés aux besoins des dirigeants d’entreprises d’aujourd’hui et sans oublier une équipe d’employés professionnels et dévoués qui ont permis au Club Saint-James de traverser l’épreuve du temps et de former une confrérie solide et unie.
Un outil que chacun doit s’approprier
Jonathan Banville considère le Club Saint-James comme un outil en affirmant qu’il y a plusieurs façons de l’utiliser, que ce soit en planifiant des rencontres avec des clients et contacts d’affaires dans un salon privé, la salle à manger, le James bar, en participant aux activités sociales organisées par le Club et ainsi de suite.
A titre d’exemple, il nous explique qu’il a souvent été appelé à organiser des conférences avec plus de 120 participants dans le passé. Le Club a toujours été son endroit de prédilection pour tenir ces événements. Il savait pertinemment que les invités seraient traités aux petits oignons, que la nourriture serait savoureuse et que tout le monde en sortirait ravi. Il n’est pas rare non plus de voir des entreprises organiser leur party des Fêtes sur place.
« Le Club Saint-James est un outil qui peut vraiment être utilisé à toutes les sauces. C’est à chacun de se l’approprier et de s’en servir selon ses besoins ».
C’est une expérience à vivre
Une chose est claire pour M. Banville, le Club, c’est une expérience. Il faut le vivre pour en apprécier la valeur. Lorsqu’on se sent bien, dans une ambiance chaleureuse et accueillante, on a le goût d’y retourner.
D’ailleurs, c’est le conseil qu’il donne à toute personne qui hésiterait à joindre le Club. « Prenez rendez-vous et allez faire une visite. Le simple fait de visiter les lieux, de rencontrer la directrice générale et son équipe saura vous convaincre ».
Les derniers mois ont été difficiles pour tous, mais lorsque les choses reviendront à la normale, Jonathan Banville sait exactement à quel endroit il passera son temps lorsqu’il aura affaire à Montréal. Et d’ici là, il sait que le Club est toujours présent pour épauler ses membres.