Des nouvelles de votre Club, et de ses membres

 

Aujourd’hui, nous recevons Louis J. Duhamel.

Louis Duhamel est consultant depuis 30 ans. Il offre des services professionnels en stratégie des organisations, en planification stratégique ainsi qu’en stratégie d’affaires. Il a travaillé pendant plus de 20 ans pour le groupe SECOR et une dizaine d’années pour Deloitte. Louis est à son compte depuis 2013, mais il a gardé des liens d’affaires avec Deloitte. De plus, il est aussi administrateur de société depuis plusieurs années.

Louis Duhamel a commencé à fréquenter le Club Saint-James dans les années 1990 alors qu’il était chez SECOR. Il est membre du Club depuis près de 20 ans.

Pour lui, le Club Saint-James est comme un second bureau. Comme il est, où il était avant la pandémie, un travailleur itinérant, Louis fréquente plusieurs endroits pour faire le gros de son travail. Ce qu’il apprécie du Club, c’est son service de restauration. Cela lui permet de prendre ses repas dans un endroit accueillant sans le brouhaha des restaurants. Il lui arrive de passer des journées entières pour y travailler. D’ailleurs ajoute-t-il, les fauteuils mis à la disposition des membres sont très confortables. 

C’est un autre aspect positif du Club qu’il apprécie particulièrement, son confort. C’est l’endroit idéal pour recevoir des clients et des contacts d’affaires.

La crise du COVID-19 nous affecte tous, mais à des degrés différents. Pour sa part, dans son secteur d’activités, le service-conseil, Louis n’a pas vu beaucoup de changement, pas de baisse dans son volume de travail, au contraire.   La seule différence est dans son environnement de travail. Comme beaucoup, Louis est confiné chez lui et il expérimente les joies et, parfois, les désagréments du télétravail. Il est parfois difficile de faire la démarcation entre le travail et la vie personnelle. En travaillant de la maison, les heures de bureau peuvent parfois se prolonger jusqu’en début de soirée sans qu’on ne s’en rende compte. Mais, Louis précise avec un sourire en coin, qu’il compte sur sa famille pour le « ramener à la maison ».

C’est d’ailleurs un aspect agréable, pour lui, d’être avec sa famille, sa conjointe et sa fille de 12 ans. Ce confinement commun permet de tisser des nouveaux liens familiaux qui enrichissent leur clan. 

Louis Duhamel se dit très confiant pour l’avenir. Il trouve que la crise est bien gérée par les gouvernements. Il y aura un ralentissement économique, c’est inévitable. Mais la reprise risque d’être bonne pour une bonne partie de notre économie. 

Pour ses affaires professionnelles, il n’est pas inquiet. La crise apporte des changements qui perdureront. Les entreprises devront revoir leurs pratiques et leur façon de travailler. Certaines devront revoir leur mission. Elles devront revoir leurs planifications stratégiques. Il ne pense pas manquer de travail.

Est-ce que l’on doit s’inquiéter pour l’avenir des clubs privés comme le Club Saint-James ? Pas selon Louis Duhamel. Pour lui, les Clubs privés offrent des services essentiels à leurs membres. Leur environnement haut de gamme, leur aménagement, la qualité des services offerts, dont ceux importants de restauration et de bar, sont tous des éléments qui font que les membres s’y sentent à l’aise. C’est l’endroit qu’ils choisiront pour tenir leurs rencontres et reprendre contact avec leurs clients. Et parfois pour y travailler. 

Louis Duhamel a confiance que les mesures qui seront annoncées par la direction du Club Saint-James permettront aux membres d’y revenir en toute sécurité et confiance.

 
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Alexandre Maher