Le club privé, outil de développement
Il dit en riant qu’il est le plus jeune membre du Club Saint-James. «J’avais 22 ans, la première fois que j’ai mis les pieds ici», explique Antoine Auger, planificateur financier. Cette première fois a été pour lui un coup de foudre. «Dès que j’ai franchi les portes et que j’ai aperçu le grand escalier, je me suis senti à ma place.» C’était il y a six ans. Depuis, sa place au Club n’a fait que se confirmer.
La réalité d’un club d’affaires privé
Les clubs d’affaires privés souffrent de plusieurs préjugés, dont celui d’être composés de vieux membres conservateurs. Cela fait partie des clichés qui ont la vie dure comme ceux de salles lambrissées aux tentures sombres où des messieurs fument le cigare en lisant leur journal. Rien de tout cela au Club Saint-James. L’endroit est plutôt lumineux, les plafonds sont hauts, les corridors sont larges, on respire, on y circule à l’aise, on s’y sent bien. Le niveau sonore, toutefois, demeure toujours faible. C’est un îlot zen au cœur de l’agitation de la ville, une pause salutaire en dehors de la frénésie des bureaux.
Apprendre au contact des autres
Mais si l’aspect des lieux a plu à Monsieur Auger, cela n’explique qu’en partie le coup de foudre initial. Il avait aussi immédiatement compris qu’il venait de trouver un endroit qui l’aiderait à grandir, tant sur le plan professionnel que personnel. «Oui, j’étais plus jeune que la moyenne, qui doit être autour de 45 ans, mais ce n’était pas un problème. Entre membres, les contacts sont facilités. Il y a des gens à qui je n’aurais jamais eu accès si je n’avais pas été membre ici.»
Quand on lui demande si cet accès lui sert avant tout à réseauter, il rétorque par la négative. Il veut d’abord apprendre de ces gens, qui sont dans les affaires depuis plus longtemps que lui. Il ne cache pas ses ambitions, mais il tient aussi à faire les choses correctement, sans brûler les étapes, en s’inspirant de modèles qui l’aident à se «tirer vers le haut», comme il dit.
Renforcer la relation client
Antoine Auger participe à plusieurs activités du Club en compagnie de ses clients, de ses amis ou de sa famille. Lors des dîners-dégustations, par exemple, il lui arrive souvent de réserver une table de six à laquelle il convie deux de ses clients en compagnie de leur conjointe ou conjoint. Lui-même est accompagné de sa femme. «Je dois dire que mes clients sont assez impressionnés. Tant par l’endroit que par le personnel, mais aussi par l’événement lui-même. Si un client a la chance de discuter avec un vigneron, par exemple, il vient de vivre une expérience beaucoup plus riche que si je l’avais simplement invité dans un restaurant. Par la suite, cela nous fait des choses en commun, des sujets dont on peut parler, ça nous permet d’aller plus loin que la stricte relation d’affaires.»
Dans sa pratique, Monsieur Auger s’enorgueillit d’offrir à ses clients une expérience personnalisée et soignée. En les invitant au Club, il prolonge en quelque sorte cette expérience client, et consolide la relation d’affaires.
Les affaires, la famille, les amis
Depuis six ans, Monsieur Auger a, bien sûr, multiplié les contacts au Club, mais ceux-ci ne se limitent pas au plan professionnel. Avec certains membres, il s’est lié d’amitié et ils se rencontrent en dehors du Club. Comme sa femme l’accompagne dans la plupart des activités, elle a aussi fait des rencontres qui se sont transformées en amitié. On pourrait même dire que le Club Saint-James fait partie de l’histoire du couple et de la famille.
Aux activités familiales, comme le brunch de la fête des Mères ou le défilé du père Noël, Monsieur Auger invite ses proches. Tous se sentent privilégiés de faire partie de la grande famille du Club et de pouvoir profiter des mille et une attentions du personnel.
En pensant à tout ce qu’il a réalisé depuis six ans, Antoine Auger dit sans hésiter: «Je ne serais pas là où je suis sans le Club Saint-James». On lui souhaite encore beaucoup de belles années !
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