Revenir au Club Saint-James de Montréal

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C’est après que l’entreprise familiale œuvrant dans l’immobilier fût vendue en 2015 que Michel-Éric Fournelle prend la décision de s’investir corps et âme dans la philanthropie. Sa mission : offrir un soutien à l’enfance, plus particulièrement aux jeunes issus des milieux défavorisés. 

M. Fournelle met sur pied et agit à titre de président de la Fondation Famille Michel Fournelle qui a pour objectif de venir en aide aux enfants en situation de précarité, de décrochage scolaire ou comptant des difficultés langagières. Mais son implication est beaucoup plus large; celui-ci collabore également auprès d’œuvres caritatives comme la Fondation Père-Sablon et la Fondation du Dr Julien.

Pourquoi le Club Saint-James de Montréal ?

M. Fournelle s’est souvent fait poser la question. D’ailleurs son père fut le premier à le questionner à ce sujet. Mais suite à une première visite et une rencontre initiale avec Andrée Vincent, directrice générale du Club, M. Fournelle a vite fait de remarquer que les vieilles références d’un club social un peu guindé ne pouvaient être plus loin de la réalité. 

Bien que le Club Saint-James ait une histoire riche, il a su se renouveler et s’actualiser. « Les vieilles références d’un club social, ce n’est pas ça du tout. Le Club Saint-James est réellement un Club d’affaires qui s’est adapté aux besoins des gens d’affaires d’aujourd’hui. »

Un accélérateur de relations d’Affaires

Selon M. Fournelle, le Club a cet avantage d’être un accélérateur de relations d’affaires. « On peut inviter un partenaire d’affaires dans un restaurant, mais inviter quelqu’un dans un club privé, ça donne une crédibilité additionnelle à la relation. Cela démontre à la personne qu’il ou elle a un statut spécial. Ça revêt un cachet très particulier. »

Les salons sont très importants selon M. Fournelle. Ils permettent de faire évoluer les relations d’affaires. « On peut avoir des premiers lunchs à la salle à manger et à mesure que la relation d’affaires s’intensifie, on peut prévoir des réunions ou des lunchs d’affaires dans l’un des salons. Ils sont tous superbes. »

Parfaitement adapté aux normes sanitaires

Un régulier du Club Saint-James depuis sa réouverture le 22 juin dernier, M. Fournelle se rend sur place au moins 2 à 3 fois par semaine, principalement sur l’heure du lunch, pour rencontrer clients et amis et pour le développement des affaires. 

Selon lui, Le Club s’est très bien adapté aux normes sanitaires. Le fait que le restaurant soit déménagé au 2e étage est idéal compte tenu de la situation. M. Fournelle félicite l’équipe de gestion du Club en mentionnant que le personnel est bien formé, possède tous les équipements de sécurité nécessaires. Rien n’est laissé au hasard. Tout est désinfecté et on respecte les 2 mètres de distance. « Depuis, le déconfinement, je ne vais pas dans les restaurants intérieurs, sauf pour le Club Saint-James. C’est la seule place que je vais, car je sais que tout est conforme aux normes sanitaires. »

 Ça fait du bien de revenir au CLub

Le message de M. Fournelle ne peut être plus clair: « Come back baby ! ». Ça vaut la peine de revenir au Club, ça donne un sentiment de normalité dans une période inhabituelle et particulière. Franchir à nouveau les portes du Club Saint-James, c’est un peu comme revenir chez soi après avoir passé un certain temps à l’étranger; ça fait du bien.

Pour M. Fournelle, le Club, on y revient par attachement, parce qu’on sait que tout est respecté, parce qu’on s’y sent bien, chez soi, pour la nourriture, les rencontres, l’ambiance et un peu pour apprécier la vue spectaculaire sur le centre-ville de  Montréal depuis la salle St-Denis.